Les technologies influencent notre perception du réel. C’est ce que j’ai essayé de montrer dans cette mise en espace de ce que j’appelle les « ailleurs électroniques ». En faisant des allers et retours entre l’espace de l’écran et l’espace de l’exposition, les pièces abolissent les frontières illusoires entre réel et virtuel. J’ai envisagé ce diplôme comme une « superposition de réalités » qui met en évidence les aspects politiques d’Internet et des technologies ubiquitaires telles que l’hologramme. Comme autant de récits d’une vaste « réalité augmentée », les pièces se répondent les unes aux autres et télescopent des représentations médiatisées du monde. »
Ailleurs électroniques
Ancienne Étudiante